Voilà plus de dix ans que je regarde le monde à travers un viseur.
En y comptant les trois années passées à étudier cet art à l’IATA de Namur où les bases se sont ancrées.
En y comptant les trois années passées à étudier cet art à l’IATA de Namur où les bases se sont ancrées.
Le reste, je l’ai appris sur le terrain : en parcourant les différents évènements proposés par le FIFF de Namur, en capturant les instants suspendus des mariages, ou encore en travaillant sur des séances de photos scolaires.
Mais ce qui m’anime profondément, ce n’est pas juste de « prendre des photos ».
Ce qui me fait vibrer, c’est de capter ce qui ne se dit pas. De documenter ce monde en perpétuel mouvement, de poser un regard personnel sur ce qui m’interpelle, me bouleverse ou me questionne.
Explorer, observer, ressentir. Puis traduire tout ça en images.
Ce qui me fait vibrer, c’est de capter ce qui ne se dit pas. De documenter ce monde en perpétuel mouvement, de poser un regard personnel sur ce qui m’interpelle, me bouleverse ou me questionne.
Explorer, observer, ressentir. Puis traduire tout ça en images.
Mon appareil est un prolongement de mes pensées, un outil pour créer du lien, de l’intime, du vrai. Mon approche est humaine, intuitive, et souvent en décalage des normes lisses et standardisées.
Je crois à la force des images sincères, de celles qui touchent sans crier.
Je crois à la force des images sincères, de celles qui touchent sans crier.
Aujourd’hui, je continue d’avancer, entre projets personnels engagés et commandes professionnelles, avec la même envie : raconter autrement. Et surtout, ne jamais cesser de chercher.
